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Droits de la Nature pour la Paix et le Développement, Conférence Annuelle Internationale du 12 au 14 décembre 2022 à l'ONU

11ème Conférence Annuelle Internationale aux Nations Unies Voir présentation détaillée

Droits de la Nature pour la Paix et le Développement, Conférence Annuelle Internationale du 12 au 14 décembre 2022 à l'ONU

11ème Conférence Annuelle Internationale aux Nations Unies Voir présentation détaillée

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10ème Conférence Annuelle Internationale sur les Droits de la Nature pour la Paix et le Développement - du 12 au 14 décembre 2022 à l’ONU
Conférence organisée sous l’égide du Programme des Nations Unies pour l’Harmonie avec la Nature
(Other continental or worldwide interested networks, please contact us)

Merci de faire suivre aux personnes que vous connaissez dans ce domaine.

Ci-dessous l’Appel à Contribution (Call for Abstract).

Pour toute proposition de communication à intégrer au programme, merci d’utiliser le formulaire sur cette page.

Appel à Contribution 2022 :

Conférence Annuelle Internationale sur les Droits de la Nature
dans le cadre du 14ème FORUM DE GENEVE à l’ONU, du 12 au 16 Décembre, 2022
Organisation des Nations Unies, Genève, Suisse Colonie de vacances
Valais
Suisse
Objectif Sciences International organise plusieurs colonies de vacances scientifiques dans le Valais Suisse, ainsi que d’autres vacances à la montagne en suisse, ce sur de nombreuses thématiques (nature, faune & flore, drones, géologie, architecture, paléontologie...). Pour plus d’informations, suivez ce lien sur les séjours nature.


FORMULAIRE D’INSCRIPTION
LISTE DES PRESENTATIONS
Lundi 12 décembre après-midi, mardi 13 décembre toute la journée, mercredi 14 décembre matin, 2022

de 09:00 à 18:00

Mardi soir, de 19:00 à 23:00 : Dîner de Networking des réseaux Droits de la Nature

ENTREE GRATUITE SUR INSCRIPTION (Badge d’Accès à l’Organisation des Nations Unies)

Simple Participation aux Frais (voir formulaire ci-dessous)
Les Présentations seront données en anglais et français. Les débats et les questions seront organisées en anglais et français. Merci d’utiliser le formulaire en bas de cette page pour vous inscrire, y compris si vous ne voulez qu’assistez comme auditeurs.
Menant à bien des Projets d’Education aux Sciences et de Sciences Citoyennes depuis 1992, et ayant créé les 1er séjours de Recherche Participative en 2004, l’ONG Objectif Sciences International a le Statut Consultatif Spécial auprès des Nations Unies. Active sur tous les continents, l’ONG organise tous les ans, depuis 2012, la Conférence Internationale Annuelle sur les Droits de la Nature aux Nations Unies à laquelle participent tous les Gouvernements actifs dans ce domaine, ou intéressés par les travaux. L’objectif de cette conférence organisée dans l’hémicycle des Nations Unies est de permettre aux acteurs et opérateurs de ce domaine d’échanger, de se rencontrer et de partager en direct, au niveau international le plus large.
Dialogues Interactifs de l’ONU et Droits de la Nature

Les experts qui sont sollicités tous les ans par le Bureau de l’ONU en charge de l’initiative Harmony with Nature, échangent déjà aux niveaux national et continental (Europe, Amérique du Nord...) selon divers groupes de thématiques. Cette Conférence organisée en Décembre permet de travailler sur les résultats des Dialogues Interactifs de Haut Niveaux ayant eu lieu, et de préparer la matière à penser en vue des prochains Dialogues Interactifs. Celles et ceux qui désirent échanger et partager leurs idées, pratiques et solutions, au niveau mondial, se réunissent en fin d’année à la Conférence Annuelle Internationale organisée à l’ONU.

Protection de la Nature / Personnalité Juridique de la Nature / Êtres Vivants / Développement Durable

Les nombreux organismes publics ou associatifs, et citoyen-ne-s, qui sont actifs dans le domaine des Droits de la Nature, se sont fédérés et organisés, au niveau mondial. Les grands acteurs mondiaux, les fédérations, et les acteurs spécifiques, s’organisent actuellement au niveau international et sont appelés à se rencontrer tous les ans en fin d’année, à la Conférence Internationale sur les Droits de la Nature, à l’ONU, à Genève.

Cet espace annuel de mise en commun permet aux acteurs du domaine de mettre en commun pratiques, enjeux, solutions, idées, besoins.

Votre Ressource Annuelle d’Echanges

Suite aux réunions nationales qui ont lieu localement dans chaque pays, cette Conférence Internationale à l’ONU permet aux acteurs de se mettre en concertation, ou de s’informer mutuellement, des progrès et des actions qu’ils mènent durant l’année, ou qu’ils ont en projet.

Les acteurs présents à cette Conférence sont :

  • Acteurs locaux et régionaux des différents pays
  • Acteurs thématiques, par disciplines
  • Fédérations régionales ou nationales
  • Fédérations thématiques, par disciplines
  • Grandes Institutions des Droits de la Nature
  • Associations de défenses et de protection de la Nature
  • Ministères gouvernementaux (Environnement, Education, Recherche, Développement Durable…) et associations internationales de Ministères
  • Journalistes spécialisés (juridique, sciences, environnement, éducation, développement durable…)
  • Organismes de l’ONU (UNDP, UNEP…)

Les sujets qui sont à l’ordre du jour de cette année sont les axes du Programme de l’ONU pour l’Harmonie avec la Nature :

  • Pour une Justice non anthropologique, et centrée sur la Terre
  • Pour une Economie écologique
  • Education pour un comportement naturellement respectueux de la Nature
  • Sciences et Recherche intégrées et transversales (Holistic Science)
  • Sciences Humaines pour les Droits de la Nature
  • Philosophie et Ethique
  • Arts, Media, Design et Architecture
  • La Théologie et la Spiritualité face aux Droits de la Nature
FORMULAIRE D’INSCRIPTION
LISTE DES PRESENTATIONS

Programme Détaillé

Les échanges entre les parties prenantes de cette réunion auront lieu à la fois sous la forme de pitchs très dynamique suivi de sous-groupes au sein desquels vous pourrez participer, et à la fois sous forme de Table-Ronde entre les intervenants, et bien entendu de débats avec l’audience de l’Assemblée.

Organisateur : ONG Objectif Sciences International, Genève

Président de Séance :

M. Thomas EGLI
Directeur Général
FORUM DE GENEVE aux Nations Unies : www.osi-genevaforum.org
En savoir plus sur Thomas EGLI, Fondateur d’Objectif Sciences International, Dirigeant du FORUM DE GENEVE

Co-Présidence :

M Colin ROBERTSON
Lawyer-linguist
Member of the Rights of Nature networks
Mrs Doris RAGETTLI
Founder
Rights of Mother Earth : https://www.rightsofmotherearth.com/
Mrs Vanessa HASSON
Lawyer
Director of MAPAS (Methods to Support Environmental and Social Practices) : http://www.mapas.org.br/

Voici le Programme des 5 jours du FORUM DE GENEVE de Décembre 2022, dans lequel sont décrit les journées dédiées à la Conférence sur les Droits de la Nature pour la Paix et les Objectifs du Développement Durable.

Programme of GENEVA FORUM 2023 (Public side)
Lundi matin : Badges ONU, Rendez-Vous et premières Rencontres
Mercredi 12h00 - 14h00 : Marche pour la Nature, à la Place des Nations (départ au plus tard à 12h40 des salles de Conférence, Photo de Groupe à 13h00 à la Place des Nations)
Lundi après-midi : Faire de la Nature le Centre de Priorité des Humains - Networking et Rendez-vous Individuels de Travail (One-on-One Meeting) Conférence en parallèle, comment concrétiser vos actions sur le long-terme grâce au format du Tourisme Responsable (voir Programme de la semaine)
Mardi matin : Stratégies de Défense des Droits de la Nature - Table-Ronde, Panel de présentations et débats juridiques et épistémologiques
Mardi après-midi : Mettre les Humains au Service de la Nature - Atelier de travail, Panel, Sous-Groupes et Restitutions de travail
Mardi soir : Repas de Networking Annuel des Réseaux des Droits de la Nature
Mercredi matin : Rencontre annuelle des acteurs du réseau - Continuation des sous-groupes de travail pour les membres de la communauté des Droits de la Nature qui le désirent, salles mises à disposition Conférence en parallèle, comment financer vos projets (voir Programme de la semaine)
Mercredi après-midi : Conférence permettant de trouver des formats de concrétisation de vos actions sur le long terme grâce aux Sciences Participatives (voir Programme de la semaine)

Session d’Ouverture Officielle - Mardi 14 Décembre 09h00

Session organisée en partenariat avec Rights of Mother Earth, le Bureau Harmony With Nature de l’ONU et Objectif Sciences International.

  • Points Clés
  • Remarques sur la Situation en Cours
  • Remarques de la part des Représentations Gouvernementales représentées



Présentations en cours de proposition pour 2022

Présentations Validées

La conservation des sols par la restauration des éléments nutritifs du sol ORAL PRESENTATION

Based on research on soil pollution problems solved using organic farming #03 - Experimental Research on Soil for Nutrition, presented at the FAO in the Global Symposium Soil for Nutrition, Rome in July 2022". We would like to share the concept of this project in terms of soil conservation based on the right of nature protection in the environment. Because of the currently of soil in agriculture situation around the world has been destroyed. Both natural disasters due to climate change and humans : by the agricultural chemicals and the use of pesticides that are severely harmful to humans and the environment. In particular, it has a direct effect on the destruction of nutrients in the soil, it completely destroys nutrients that are beneficial to growing crops. The soils are not only the foundation for food, fuel, fiber and medical herbs, but they are also a key in the carbon cycle, storing and filtering water, and improving resilience to floods and droughts too. The degraded soil made the cultivation is of poor quality, yield and lack of nutrients that benefit the consumer’s body. It also affects the shortage of qualified food. Therefore, there is an urgent need for long-term soil improvement and restoration to increase soil nutrients that will be a source of nutrients for humans to be sufficient to sustain their livelihoods. For this research we focus on the quality of soil nutrient improvement by used the legumes The project of soil management by using organic farming by short life cycle planting such as legumes (Green bean, soy bean and peanuts), which can freeze nitrogen gases in the air of which the roots of plants are sucked into the soil by nitrogen fertilizer fixation process into the soil. After harvest, it’s ploughed and buried them for 15-30 days to decomposed and form primary nutrients such as nitrogen, phosphorus and potassium and secondary nutrients such as calcium, magnesium, sulfur into the soil. After the physical and biochemical testing. We found the better level of primary and secondary nutrients in soil were improved in significantly in SPSS testing program by one-way ANOVA revealed that there was a statistically significant difference in defined level between at least two groups (F (2, 291), p = 0.93) from 294 samples of target groups in 50 plot sites in northern of Thailand and we retesting in the soil science-laboratory that the result of soils nutrients value was also significantly satisfactory. Therefore, this project of Soil Conservation by Restoring Soil’s Nutrients is an achieved practical project to support SDG2 - Zero hunger, to improve the soil nutrients for humans sufficient to livelihoods without the effects by the shortage of qualified food. By long-term soil improvement and restoration to increase soil nutrients and can be conservation the soil according to the concept of right of nature in environment protection in the same time. And we are committed more to supporting SDG 3-good health and well-being, we will adding the herbs medical plants which has an inhibitory effect on viruses such as finger roots and ginger, to be the treatment of experimental research next time.

Mr Pathawit CHONGSERMSIRISAKUL, SiPa Research Organization, Bangkok, www.facebook.com/people/Siripen-and-Pathawits-Research-Citing-and-References/100063519369860


Rights of nature and the legal architecture of the oceans ORAL PRESENTATION

Recent studies on ocean connectivity show that humans and the marine environment are inextricably intertwined (Rogers, 2014 ; Popova et al. 2019) and that the oceans deliver vital ecosystem services for maintaining living conditions on Earth. Although our existence hangs in the balance, human activities continue to severely impact the ocean’s natural systems. Marine biodiversity loss and climate change bring to the fore the legal system’s role in preserving the socio-ecological balance of the marine environment. Undoubtedly, the Law of the Sea has been fertilized by developments taking place in environmental law (e.g., ecosystem approach, area-based management tools). However, the Law of the Sea’s ethos continues to rely on the jurisdictional division of the ocean into maritime zones and the protection of the marine environment is mostly sectoral. Systemic fragmentation problems are rife in the Law of the Sea because institutions, decision-makers and legislation are developed along these sectoral lines with little connectivity. In this current ethos, States play a fundamental stewardship role , but socio-environmental concerns have been overridden by resource-grabbing practices (Ranganathan 2019). To further complicate matters, effects of environmental degradation are felt far away from its sources making it difficult to apply key principles such as the precautionary principle. This is because key factors such as the relevant State/stakeholder and data are changeable as interests and priorities change. Scholars, such as Cloutier de Repentigny (2020) suggest revisiting human geological agency’ to deconstruct current State sovereignty and jurisdiction. The Rights of Nature (RoN) approach goes to the heart of the existing system and argues for reorganizing interests and priorities. This reorganisation is necessary because environmental law principles have failed to mitigate harmful ecological practices and adapt to global ecological change. (Kotzé, 2019).

By including Nature as a subject of law with rights, conversations about the governance of the oceans can transcend sectoral and State-centred boundaries. Theoretically, this paper utilises the RoN approach as a critical lens to examine the role of law where interests are multisectoral and challenges ecologically connected will situate its analysis on shifting paradigms in ocean governance from State-centred to nature-centred. This approach follows the recognition by the UN General Assembly that a paradigm shift from a human-centric society to an Earth-centred global ecosystem is needed to ensure a resilient planet (UN Doc. A/75/266 (2020)). From a practical perspective, the authors discuss whether RoN has been legally considered in a marine environmental setting. We pay special attention to States leading this discourse such as Ecuador whose 2008 Constitution recognizes Nature as a subject of rights. Arguably, Ecuador’s constitutional recognition could be seen as a pathway from anthropocentric to biocentric law. Our analysis focuses on the jurisprudence developed by States on this issue such as the Ecuadorian Constitutional Court’s reasonings in the 2015 Marmeza case where the Court explicitly acknowledged that aquaculture activities taking place at the Cayapas Mataje Mangrove Ecological Reserve violated the rights of nature. The papers finally reflect on the potential offered by RoN to re-imagine the law of the sea beyond inter-state rules.

REFERENCES :
- Cloutier de Repentigny, P. (2020) To the Anthropocene and beyond : The responsibility of law in decimating and protecting marine life’ Transnational Legal Theory 11:180-196.
- Kotzé L. (2019) A Global Environmental Constitution for the Anthropocene ?’ Transnational Environmental Law 8 : 11-33. Marmeza, Case N. 0507-12-EP, Constitutional Court of Justice of Ecuador, Judgement N. 166-15-SEP-CC, 2015
- Popova, E., et al. (2019) ‘Ecological Connectivity between the Areas Beyond National Jurisdiction and Coastal Waters : Safeguarding Interests of Coastal Communities in Developing Countries’ Marine Policy 104 : 90-102.
- Ranganathan, S. (2019). "Seasteads, land-grabs and international law. Leiden Journal of International Law." Leiden Journal of International Law 32 : 205-214.
- Rogers A et al, The High Seas and Us - Understanding the Value of High-Seas Ecosystems (The Global Ocean Commission 2014).
- United Nations General Assembly Seventy-Fifth Session Agenda Item 18. Harmony with Nature. Report of the Secretary General UNGA A/75/266. https://documents-dds-ny.un.org/doc/UNDOC/GEN/N20/199/25/PDF/N2019925.pdf?OpenElement
- Vidas D. (2011) The Anthropocene and the International Law of the Sea’ Philosophical transactions of the Royal Society of London 369 : 909-925.

Mrs Gabriela ARGUELLO, University of Gothenburg, Sweden, www.gu.se/en/school-business-economics-law/law/ocean-law-group


Récits de voyages et conscience écologique ORAL PRESENTATION

Le Centre de Recherches sur la Littérature des Voyages (CRLV), fondé à La Sorbonne en 1984 et actuellement accueilli à Aix-Marseille Université, fêtera ses 40 ans en 2024. Il regroupe environ 1800 membres, des spécialistes de diverses littératures, des historiens, des historiens de l’art, des géographes et des ethnologues, et étudie la littérature des voyages dans ses divers aspects : documentaire, esthétique et idéologique. Le domaine est donc balisé du simple « carnet de voyage » aux « voyages littéraires », en synchronie comme en diachronie. Attentif au « spatial turn », il propose un programme de recherches sur les récits de voyages et l’éveil des consciences écologiques, où la rigueur historique et l’esprit critique priment sur la dimension idéologique.

Etudier les grandes tendances de l’écriture de l’œkoumène, la graphie de la terre (ou géo-graphie, comprenant la terre au coeur de la « li-terra-ture »), l’habitat narratif, à travers lequel les voyageurs perçoivent la réalité qui sont réexaminées sur toute la période pré-moderne, moderne et contemporaine, permet d’exhumer et/ou d’inventer des types de récits susceptibles de tempérer la tendance à l’affranchissement et à l’abstraction qui caractérise les modes de vie et les comportements de notre modernité. Le projet du CRLV propose un grand chantier de recherches autour de ces récits viatiques de l’anthropocène. L’objectif est de réinscrire « Homo viator » dans le monde et d’y renouer son destin par le biais d’une riche palette d’écritures de la nature ; descriptions, exphrases, hypotyposes, taxinomies, intermédialités, symboles, et d’émotions ; peur du futur, empathie pour le vivant, tristesse, espoir, solastalgie.

Mrs Sylvie REQUEMORA, Centre de Recherches sur la Littérature des Voyages (CRLV), France, https://crlv.org


Et si les pratiques traditionnelles pouvaient conserver la biodiversité dans les milieux ruraux et contribuer au respect des droits de la Nature ? ORAL PRESENTATION

Et si les pratiques traditionnelles pouvaient conserver la biodiversité dans les milieux ruraux et faire respecter les droits de la Nature ? Défis de la conservation de la biodiversité et violation des droits de la Nature dans les milieux ruraux congolais : Expérience du couloir écologique du Parc National de Kahuzi Bièga en Chefferie de Nindja. La Chefferie de Nindja est l’une des chefferies que comprends le Territoire de Kabare en Province du Sud-Kivu (RDC). Dans cette chefferie, y compris le couloir écologique du parc, la chasse illicite est devenue une activité fréquente, diverses autres menaces à la biodiversité s’y accentuent. Les populations vivant dans ces milieux ruraux considèrent non seulement que leurs droits d’accès aux ressources naturelles (terres agricoles, minerais, bois, etc.) sont violés mais bien plus encore que la suprématie de leurs coutumes, de leurs traditions et cultures sont totalement bafouées et subiront des conséquences invisibles à l’heure actuelle. L’Homme règne plus encore en souverain sur les écosystèmes en milieu rural mais également se considère toujours comme le seul vivant sur la planète, au détriment de la biodiversité animale et végétale pour ne citer que cela. Nous sommes conscients que les Droits de la Nature dépassent le Droit de l’environnement traditionnel qui se borne à protéger une nature outil et propriété de l’être humain aux seules fins d’une croissance alimentée. Malheureusement cela reste une des rhétoriques dans les milieux ruraux et nécessitent que les connaissances traditionnelles, autochtones et culturelles soient de mise à profit pour la conservation et la survie des communautés locales. Les scientifiques devraient également abandonner l’idée de faire participer les communautés locales mais plutôt se faire intégrer au sein de ces communautés rurales pour une action durable. N’est-il pas possible d’inclure les savoirs traditionnels, autochtones et culturels ainsi les pratiques coutumières dans la conservation de la biodiversité pour le respect et des Droits de la Nature ? Faut-il repenser les approches d’interventions dans les milieux ruraux ? Les changements climatiques et la perte de la biodiversité, c’est à nous tous.

Mr Gervais MUDERHWA NSHOMBO, MKAAJI MPYA asbl, République Démocratique du Congo, https://mkaajimpya.org


PROTECTING THE RIGHTS OF NATURE ORAL PRESENTATION

It is instilled in the constitution of Ghana, the state owner of natural resources including minerals underground and it provides the license for companies to mine. For over a decade, there is being a failure to curb illegal mining which has destroyed lives, land forest reserves, and residential settlements and caused the death of residents in these mining communities. Many Communities, Livelihood, and Environments has being destroyed by these illegal activities. During the illegal mining, they dig deep holes in the earth using explosives and excavators, destroy forest reserves and wash the gold dust with mercury in nearby water bodies. These water bodies are polluted and this serves as the only drinking water in these communities. Hundreds of lives has being lost to mercury poisoning An intergovernmental solution is needed to curb this destruction of nature. The political will of the government, the influence of traditional and religious leaders, and law enforcers are needed to build a consensus on protecting the rights of nature. In 2020, during the pandemic and all attention was on Covid, my NGO called Social Gospel Movement embarked on a campaign to draw awareness to acknowledge our dependence on nature and the importance of living in harmony with nature.

At Social Gospel Ministry (SGM), we recognize species and ecosystems not as a resource for human depletion to humans but as allies in our ecosystem In 2020 February, SGM pushed for legislation for the Ghanaian Government to enact rights for the river bodies in Ghana, which have been destroyed by operators of illegal mining popularly known as GALEMSEY. These illegal miners use chemicals that are poisonous to water bodies, which serve as drinking water for some local communities. There have been serious implications for these activities. Subsequently, communities like Amenfi-East, Tarkwa Nsuaem, and Prestea Huni-Valley District have established bills of rights that establish the right to local self-government, the right to a healthy environment, the right to clean water, and protection for the local environment. This proves that nature is a property.SGM has been educating the other school of thought who don’t believe in the Rights of Nature Approach and over the years and we have been vindicated, as water bodies have been cleared since the termination of illegal mining and water-related diseases like cholera, malaria and its prevalence has been drastically reduced.

Mr Emmanuel Nyarko APPIAH, zetex incorporated, United Republic of Tanzania


Bringing The Sacred Back Into Nature : A Proposal To Re-Evaluate Our Relationship With The Environment ORAL PRESENTATION

In many indigenous cultures both past and current, there is a belief that the environment and nature is installed with a spirituality. This same, or similar belief, was also found in other ancient cultures and traditions which gave trees, and bodies of water, such as wells and springs, a sacredness and recognised that the environment had an important and essential place within the world. The Rights of Nature is about recognising that humans need to adopt more eco-centric attitudes and behaviours towards the environment and to other species and to move away from the anthropocentric view that is causing environmental harms and species loss.





This presentation will add that by also looking through a more deeper lens into what has been considered the sacredness of natural objects, that this may further assist in re-evaluating the human relationship with the natural world, creating a more reciprocal interchange and also enhance both the well-being of the enviroment and of humans.

Julie Elizabeth BOYD, United Kingdom




















Nature of Rights and International Law ORAL PRESENTATION

La dégradation du monde naturel est une préoccupation commune de l’humanité. Le changement du climat de la terre et ses effets néfastes montrent notre vulnérabilité face aux développements dans des endroits éloignés et la nécessité de collaborer au-delà des frontières nationales - les problèmes d’une nation sont les problèmes du monde. C’est pourquoi les hommes politiques et les chercheurs, les institutions non gouvernementales et internationales, ainsi que les citoyens individuels ont cherché à protéger l’environnement. Le droit international de l’environnement a été introduit afin de réduire la dégradation croissante de l’environnement. Cependant, malgré cela, le système juridique reste imparfait. La structure existante aborde les dommages environnementaux sous l’angle du "seuil", en légalisant un niveau de destruction de l’environnement. Les lois nationales de protection de l’environnement considèrent généralement l’homme en premier lieu et la nature en dernier lieu, ne s’attaquant donc pas à la cause profonde et exigeant une solution alternative. Cet article soutient que la nature ne doit pas être considérée comme une propriété ou un objet humain, mais que ses droits doivent être pris en compte.

La vie n’est durable que si l’environnement est protégé, car les humains et la nature sont interconnectés. Les animaux, les forêts, les humains, les rivières et les plantes ont tous le même droit d’exister. Par conséquent, des restrictions sont nécessaires pour préserver l’équilibre de l’écosystème, comme l’abattage d’arbres pour construire une maison, alors que l’extermination d’une espèce animale ou la destruction d’une forêt a des répercussions négatives sur l’humanité.

Par conséquent, un écosystème devrait se voir accorder un statut de parent légal lui permettant de se défendre en justice contre la dégradation de l’environnement qui est le résultat d’un développement particulier ou du changement climatique. Des pays comme l’Équateur, la Bolivie, la Nouvelle-Zélande et l’Inde, ainsi que plusieurs communautés américaines ont reconnu les droits de la nature. En outre, l’Assemblée générale des Nations Unies considère les droits de la nature, en indiquant une proposition de Déclaration universelle des droits de la Terre Mère, 2010. En outre, la Cour internationale de justice reconnaît la protection de la nature [par exemple, Hongrie c. Slovaquie, (1997) ICJ Rep, dans une opinion séparée, le vice-président]. Ce document traite des droits fondamentaux et des fondements juridiques qui façonnent les droits de la nature.

Md Jahid Hossain Bhuiyan, Independent University, Bangladesh, www.iub.edu.bd


FONCIER EN AFRIQUE : la nécessité d’une nouvelle approche pour un Développement Durable. ORAL PRESENTATION

En Afrique, il est établi que la terre est un " Patrimoine Commun" à la communauté. Loin d’être anonyme et interchangeable, elle reste sacrée dans sa relation avec l’homme. En général, l’homme Africain considère la terre comme " une divinité détenant des pouvoirs vitaux qu’il convient de traiter avec précaution ".Cette situation constitue une bombe à retardement du continent et souffre de toutes les critiques et controverses doctrinales. Ces critiques jugent que les richesses liées à la terre en Afrique et partant la question foncière, restent sous l’emprise des pratiques et usages communautaires improductives et inégalitaire. De ce fait, nos partenaires au Développement mobilisent sans cesse des moyens techniques, financiers, politiques et autres pour influencer la réforme des régimes fonciers africains Considérés comme "impropres". Car de toute conviction, la terre africaine peut bien nourrir et être un vecteur économique pour le développement du continent, à condition qu’elle soit sécurisée. Toutefois la complexité, sinon la difficulté de la problématique foncière en Afrique n’est pas à occulter. Dans ce continent, les question de Gouvernance et de propriété foncière, et en particulier celle d’accès à la terre, s’inscrivent dans un contexte de rapports hommes- femmes-jeunes , zones urbaines et rurales. Ces rapports cachent des réalités différentes et complexes , et dont des implications profondes sur les droits, devoirs et responsabilités des citoyens, ce qui compromet l’accès à la terre pour des groupes marginalisés ou victimes de discrimination comme les femmes et les jeunes. Ces critiques adressées sans doute contre l’emprise des droits communautaires sur la terre en Afrique, se traduisent ces dernières années par une forte incitation des États Africains à réformer leurs régimes fonciers.

Mr TAM Jean Paul, Ministère des Affaires Foncières - Cameroun, Cameroon



Les enjeux juridiques, écologiques, économiques et socioculturels du fleuve Congo et de son bassin versant ORAL PRESENTATION







Le Festival Kongo River est une Initiative citoyenne transversale et à plusieurs résonnances ; touristique, culturel, écologique, environnemental, économique et diplomatique. Le Festival Kongo River plaide pour une prise de conscience collective quant aux enjeux liés non seulement à l’eau douce, qui devient de plus en plus une ressource vulnérable, mais aussi, à la protection d’un des plus grands fleuves du monde "le fleuve Congo" et son bassin versant ainsi que de la nature, en général. Le bassin du Congo est au centre de tous les enjeux écologiques et environnementaux actuels avec la crainte du réchauffement climatique.









Sans une prise de conscience aiguë, des programmes dédiés, des campagnes de sensibilisation permanente et des actions continues, les atouts du deuxième poumon de la planète se transformeront en fardeaux et plusieurs populations connaîtront la disette, la désolation au rythme des catastrophes naturelles prévisibles. Le Festival Kongo River est une cloche d’alerte, il sonne le réveil des consciences ankylosées dans des mauvaises pratiques pour une renaissance dans une nouvelle culture écocitoyenne. La défense de la nature est rentable pour les nations. Le coût de la protection du milieu naturel est beaucoup plus faible que le coût de sa reconstitution.




Mr KUNDA Vincent, ONG KONGO RIVER, République Démocratique du Congo, www.festivalkongoriver.com











Les mobilisations pour les droits des rivières et des fleuves en France ORAL PRESENTATION

A l’heure de la crise bio-climatique, le mouvement pour les droits de la nature apparaît comme essentiel afin de repenser notre relation au Vivant. Il l’est d’autant plus en ce qui concerne les fleuves et rivières : sources de subsistance et de loisir, de fascination et de crainte, la santé de nos rivières nécessite un virage juridique pour sortir de l’Anthropocène. Le mouvement des droits de la nature connaît ainsi un fort succès en France. Une campagne d’expérimentation locale est portée par l’association Wild Legal pour démontrer la faisabilité juridique mais aussi l’opportunité politique, sociale et écologique de cette évolution légale.

Le droit français porte en son sein de nombreux outils mobilisables en ce sens et notre objectif est d’apporter un appui juridique à plusieurs gestionnaires de rivière qui souhaitent, à l’échelle de leurs territoires, mettre en œuvre une telle reconnaissance de droits. En collaboration avec le Réseau Rivières Sauvages (hydrologues) et de nombreux acteurs de terrains volontaires, ce projet d’expérimentation a pour ambition d’être répliqué partout en France pour faire avancer le débat autour de la reconnaissance des droits de la nature. .

Mrs Marine CALMET, Wild Legal, France, www.marivierecestmoi.fr



















L’école du Buen Vivir - au coeur de la forêt ORAL PRESENTATION

L’école du Buen Vivir promeut l’éducation écologique de manière interdisciplinaire et holistique pour les jeunes et les adultes et co-crée un espace pour vivre en harmonie avec le vivant, en respectant les droits de la Nature, en mettant en œuvre et en articulant les pratiques déjà existantes dans la communauté, liées aux principes des droits de la Nature et du Buen Vivir. La méthodologie suppose un enseignement par l’art et des expériences holistiques, avec une immersion dans l’environnement naturel. L’école du Buen Vivir est un projet itinérant et replicable, il est vivant, et propose une méthodologie d’éducation écologique avec l’articulation d’un réseau local qui se forme autour de l’initiative. Des activités interdisciplinaires sont développées concernant la promotion de l’économie écologique et solidaire, en contemplant les communautés du territoire qui ont des activités orientées vers les pratiques du Buen Vivir et dans le respect des droits de la Nature, comme les professionnels de la santé intégrative, les producteurs et les connaisseurs de plantes médicinales et autres agro-foresterie, la permaculture et les connaissances traditionnelles locales. Le projet accueille des visiteurs dans quatre types de programmes : Semer, pour les élèves des écoles primaires et secondaires ; Germer, pour les étudiants universitaires ; Enraciner, pour les institutions et Fleurir, pour le grand public. Nous cherchons à développer une gestion fluide, intégrative et organique, de sorte que la durée de chaque programme et le nombre de participants sont des aspects flexibles qui peuvent varier en fonction des besoins de chaque groupe.


On considère que tant dans le projet pilote (d’une durée 7 jours) que dans les deux mini-éditions (durée de 1 à 2 jours) déjà réalisées (programme Fleurir), le projet a atteint son objectif de démonstration pratique de l’efficacité des droits de la Nature, de la promotion de la spiritualité écologique. La méthodologie nous invite à manifester l’enseignement intégral d’une éducation écologique qui active non seulement les récepteurs cognitifs de l’esprit mais aussi les récepteurs sensibles, le cœur et le champ énergétique, subjectif et subtil de chaque participant et du groupe. Cette méthodologie s’est avérée efficace, car les déclarations et les sentiments des participants rapportent qu’à travers les immersions dans la Nature et les expressions artistiques les plus variées, la notion d’être Nature, la connexion avec l’essence naturelle de ce qu’est l’être humain, est marquée dans le corps et dans la conscience. Il est possible de constater que le reconnexion avec ou la création d’une identité humaine vivant en harmonie avec la Nature s’est fait par le biais de pratiques écologiques et d’économie solidaire, exprimées dans la gestion de l’açaí Juçara à Bertioga ; la commercialisation d’objets et de services liés aux arts tels que les ateliers de céramique, d’écriture créative et de thérapie sonore ; ainsi que la confection de repas à partir de PANC (plantes alimentaires non conventionnelles) et de cosmétiques naturels.

Mrs. HASSON DE OLIVEIRA Vanessa and MORAES GONCALVES Luisa, MAPAS, Brazil, https://mapas.org.br/escola-do-bem-viver


A UN Declaration for Rights of Mother Earth ORAL PRESENTATION

Humans have rights
Corporations have rights
But Nature is treated as a commodity

With our global petition we are asking the UN to adopt a Universal Declaration of Rights of Mother Earth to complement the Human Rights Declaration.
We are part of Mother Earth and are interrelated with the entire web of life on Earth. It is not possible to honor only the rights of humans without honoring the rights of all species and Mother Earth, without causing a misbalance in the ecosystem.

Please sign and share the global petition for a UN Declaration of Rights of Mother Earth at : https://www.thepetitionsite.com/826/567/703/

Rights of Nature in a nutshell : Under current law, Nature is treated as a commodity and has no legal rights. This loophole in the law contributes greatly to the exploitation and destruction of Mother Earth. Western laws in a way promote and legalize the destruction and harm people inflict on Nature, by considering activities such as mining and industrial pollution as legal.

Why it is more urgent than ever to respect the rights of Nature
Some crucial global boundaries have already been crossed, such as greenhouse gas emissions into the atmosphere and biodiversity loss (we have lost over 60% since 1970). We have destabilised the ecological balance. Climate change and the loss of biodiversity for example, are some of the symptoms. Learn more about the Planetary Boundaries : https://stockholmresilience.org/research/planetary-boundaries.html
Mrs Doris RAGETTLI, Rights of Mother Earth, Switzerland, www.RightsofMotehrEarth.com



Présentations ayant eu lieu en 2021

Présentations Validées



A UN Declaration for Rights of Mother Earth ORAL PRESENTATION

Humans have rights
Corporations have rights
But Nature is treated as a commodity

With our global petition we are asking the UN to adopt a Universal Declaration of Rights of Mother Earth to complement the Human Rights Declaration.
We are part of Mother Earth and are interrelated with the entire web of life on Earth. It is not possible to honor only the rights of humans without honoring the rights of all species and Mother Earth, without causing a misbalance in the ecosystem.

Please sign and share the global petition for a UN Declaration of Rights of Mother Earth at : https://www.thepetitionsite.com/826/567/703/

Rights of Nature in a nutshell : Under current law, Nature is treated as a commodity and has no legal rights. This loophole in the law contributes greatly to the exploitation and destruction of Mother Earth. Western laws in a way promote and legalize the destruction and harm people inflict on Nature, by considering activities such as mining and industrial pollution as legal.

Why it is more urgent than ever to respect the rights of Nature
Some crucial global boundaries have already been crossed, such as greenhouse gas emissions into the atmosphere and biodiversity loss (we have lost over 60% since 1970). We have destabilised the ecological balance. Climate change and the loss of biodiversity for example, are some of the symptoms. Learn more about the Planetary Boundaries : https://stockholmresilience.org/research/planetary-boundaries.html
Mrs Doris RAGETTLI, Rights of Mother Earth, Switzerland, www.RightsofMotehrEarth.com


Territory as a victim : Rethinking the right to reparation through Colombian indigenous territories ORAL PRESENTATION

Reparations are a fundamental pillar of Transitional Justice (TJ). They aim to address the needs of the victims who suffered harm and alleviate their suffering in order to achieve durable peace, justice, and reconciliation. Until now, the dominant underlying assumption has been that the victims must necessarily be human beings. Consequently, reparations have been conceived in anthropocentric terms, focusing solely on the needs of and harm to humans.

Colombia is the first country to, in its TJ process, have recognized a non-human element, a territory, as a victim of the internal armed conflict. By doing so, the Colombian peace process embodied indigenous views, transforming territory from a mere object into a legal subject that can suffer harm and is entitled to reparations. This legal recognition challenges the anthropocentric assumptions of the right to reparation and invite us to rethink the categories of harm and reparations, within Colombia and beyond.
Mrs Nina Bries Silva, PhD research in International Law at the European University Institute (EUI)


Cours virtuel international Droits de la Nature, théorie et pratique, et le Programme des Nations Unies Harmonie avec la Nature ORAL PRESENTATION

Une équipe brésilienne de juges et de professeurs présente la vidéo de l’expérience pionnière dans le monde du "Cours international Droits de la Nature, théorie et pratique, et le programme des Nations Unies Harmonie avec la Nature", spécialement préparé pour les juges.

(https://ead.cjf.jus.br/moodle/)

Le cours est une initiative conjointe du système judiciaire brésilien et des universités publiques, sur la base de l’Accord de Coopération signé entre le Centre d’études judiciaires du Conseil Fédéral brésilien de Justice (CEJ/CJF) et les universités fédérales du Ceará (UFC), Goiás (UFG) et Santa Catarina (UFSC), pour soutenir le Programme des Nations Unies « Harmonie avec la Nature » (HwN UN).

Il a été organisé par Maria Mercedes Sanchez, coordinatrice de ce programme UN HwN. Le cours a été développé dans l’environnement virtuel du Centre d’études judiciaires du Conseil Fédéral brésilien de Justice et de l’École nationale de formation et de perfectionnement des magistrats (ENFAM), sous la coordination des juges João Baptista Lazzari (CEJ/CJF) Vladimir Vitovsky dos Santos (ENFAM) Germana de Oliveira Moraes (CEJ/CJF et UFC) et les professeurs Fernando Antônio Carvalho Dantas (UFG) et Cristiane Derani (UFSC). Les tuteurs étaient les professeurs Vanessa Hasson (MAPAS), Geovana Cartaxo (UFC), Adriana Caguana (UASB) et les juges fédéraux Bruno Leonardo Carrá, Gilson Jacobsen, Paulo Afonso Brum Vaz et Simone Schreiber. Maintenant, tous sont des experts des UN Harmony with Nature Knowledge Network (HwN UN).

Du 22 avril au 22 octobre 2021, il y a eu 2 webinaires, 12 cours et 8 ateliers. Quarante 40 (quarante) experts de tous les continents ont fait leurs conférences. Lors de l’ouverture, s’est déroulée la deuxième édition du Webinaire « Dialogues entre les tribunaux judiciaires et le programme des Nations Unies « Harmonie avec la Nature » .

Les objectifs généraux de formation et de mise à jour des juges pour résoudre les demandes juridiques basées sur les paradigmes non anthropocentriques de l’Harmonie et des Droits de la Nature et de multiplier la théorie et la pratique à leur sujet ont été atteints avec succès.

En outre, afin de rendre plus concret l’objectif 12.8 de l’ODD de l’Agenda 2030 et de promouvoir une plus grande prise de conscience des modes de vie en Harmonie avec la Nature et d’atteindre une plus grande efficacité des droits de la Nature : ceux de la Terre Mère et les droits de tous les êtres vivants , y compris les droits de l’homme, les participants au cours ont élaboré 20 (vingt) propositions, destinées aux entités nationales et internationales.

Nous avons le plaisir de vous annoncer que l’année prochaine, les classes et les conférences du "Cours International Droits de la Nature, théorie et pratique et le Programme des Nations Unies Harmonie avec la Nature" seront disponibles en portugais, espagnol, français et anglais sur le site du Programme des Nations Unies Harmonie avec la Nature (http://www.harmonywithnatureun.org/).
Mrs Germana MORAES, Professor Geovana CARTAXO and al., CENTER FOR JUDICIAL STUDIES/FEDERAL JUSTICE COUNCIL, Brazil, https://ead.cjf.jus.br/moodle/


Embrasse lá cité ORAL PRESENTATION

Abrace a cidade ( « Hug our town ») est un projet universitaire lié au droit de l’environnement et aux droits des personnes à la ville. Ce projet a pour objectif d’encourager les étudiants et les membres de notre société à trouver des solutions aux problèmes urbains et environnementaux de notre ville et à prendre des mesures pour les aider.

Les Droits de la Nature est un principe fondateur qui guide chaque action menée par le groupe.

Mené par la conviction qu’il est possible pour les humains de vivre en harmonie avec la Nature, Abrace a Cidade, en 2019, a pu entrer en contact avec l’une des communautés les plus vulnérables de la ville de Fortaleza et, en interagissant avec les dirigeants locaux et les résidents , mener des activités d’intérêt social et environnemental, telles que des ateliers éducatifs, revitaliser les zones nécessiteuses en introduisant de petits espaces plus verts et durables et également collecter des graines pour aider à concevoir un avenir durable de ce quartier.
Mrs Geovana Maria FREIRE, Samuel Fonseca CARVALHO and Carmelia SUYANE Duarte Alves Leitão, Dean Geovana CARTAXO, Universidade Federal do Ceará, Brazil, www.ufc.br












Rights of nature in freshwater and marine ecosystems REMOTE ORAL PRESENTATION

This research looks into the emerging global and regional norms on the rights of nature in the context of water ecosystems and identified the common patterns and organizing principles in different countries to determine how these norms can contribute to a more sustainable water governance. Using empirical case studies from the Philippines and Bangladesh, this study describes how these cases from these two countries in the Global South compare with the global norms, how these rights unfold on the ground and the possibilities that these cases may offer to wider water governance framework.
Mr Rhomir YANQUILING, IHE Institute of Water Education, Netherlands, https://www.un-ihe.org/



Creating Novel Ecosystems for Urban Areas : The Innovative 3R Freshwater Mangrove Biotechnology based on Ecological Engineering for Environmental SDGs REMOTE ORAL PRESENTATION

Ecological engineering using freshwater mangrove has potential in addressing a problem of local lake wastewater and, at the same time, global issues such as water pollution and its health concerns, natural habitat loss, climate change, greenhouse gas emissions as well as typically unattractive aesthetic appearance of urban areas. The biotechnology turns the problem of wastewater flowing into lake from adjacent restaurants into solutions including use of nutrient rich water as a fertilizer for smaller macrophytes and mangrove trees in a novel urban ecosystem. This 3R freshwater mangrove biotechnology comprises hardware (blue component, green component, and brown component) and software or processes (biotransformation, carbon sequestration, waste recycling, and enhancing ecological trophic chain). The waste organic load helps increase biomass accumulation and carbon fixation (sequestration) of mangrove trees. In addition, freshwater mangroves enhance microbial communities responsible for bioconversion of organic pollutants in water and sediments.








This research will create opportunities in urban areas in terms of (1) a ‘wastes to riches’ approach in landscaping, (ii) cheaper food production within urban areas, (iii) combating climate change and ecological crises, (iv) providing health and well-being to community and nature alike, (v) natural processes to create a foundation for healthier habitats for people and wildlife, (vi) providing business opportunities. Therefore, this 3R biotechnology can be an additional perspective to urban planning for green and sustainable urbanization to achieve sustainable development goals. This can be proven by the positive improvement of water quality of the study site for 3 years along with the estimation of the potentially sequestered carbon of this novel ecosystem of freshwater mangroves which is almost similar to coastal mangroves. These are among the few potential contribution areas by the proposed method of enhancing mangrove ecosystems which potentially inform urban planning through the integration of ecosystem-based development of cities.
Mrs Arlene GONZALES, Asian Institute of Technology, Thailand, www.ait.ac.th







Eco Krathong , the cultural SDG Product from natural for friendly Environments in Ecological REMOTE ORAL PRESENTATION

According to the research topics : The bakery loop for tomorrow, of which was presented at Geneva Forum 2017 (https://www.osi-genevaforum.org/Rights-of-Nature-for-Peace-and-Development.html), Switzerland and Eco Bakery for Friendly Environments in Ecological - case study from Thailand.
TOJSAT The Online Journal Of Science And Technology in July 2018 at Harvard University of which mentions to the contributions the practice SDG 2030 topic 14 is about "Life below water" to conserve and sustainably use the oceans, seas and marine resources for sustainable development to complete achievement in economic, social and especially in environmental.

Those were mentions the “Loy Krathong Festival” that is the key cultural in Thailand traditional yearly festival that has created the water pollution for long times. it’s has applied the solution by SDG concept by produced them from natural material modification to conserve the rivers and oceans, safe for the life below and friendly environment in ecological along with culture conservation in the same time. They have tested in several rivers, oceans and lakes around the world, we found the results of statistical has accepted the hypothesis at level with significance.

For this research, the conduct study has focused on a new food ingredient for eco Krathong. It’s made from Tapioca starch which could be easily found in the local markets , that can be decomposed naturally in the water. It can be food for underwater animals such as fish, turtles, jellyfish, shrimp ,plankton. and aquatic animals such as seagulls, egrets, pigeons, sparrows and other birds. It is the most biodegradable decomposition Krathong in just a few hours when placed in the water. Krathong texture is made from Tapioca starch like bread, which has a faster decomposition rate and high amount of oxygen used by microorganisms to decompose organic matter.

To ensure the products efficiency, the experimental research has test in rivers and sea in Thailand. The results of statistical of water qualities has accepted the hypothesis at level with significance analyzed by laboratories.

Therefore the Eco Krathong , the cultural SDG Product from natural for friendly Environments in Ecological, can be optional to practice professional, which has supported the sustainable development goal 2030 : Goal 14 Conserve and sustainably use the oceans, seas and marine resources (River) for sustainable developments. It is a solution to the problem of waste water that is affected by traditions due to cultural inheritance. Along with preserving Thai culture inherited from the ancestor’s time in Loy Krathong Festival to pay respect to the river that has nourished Thai cultural life for decades at the same time.
Mr Pathawit CHONGSERMSIRISAKUL and Dr. Siripen IAMURAI, SiPa Research Organization, Thailand, https://www.facebook.com/people/Siripen-and-Pathawits-Research-Citing-and-References/100063519369860/?ref=py_c


Droits de la nature : l’expérience indienne REMOTE ORAL PRESENTATION

Les lois doivent avoir au moins une longueur d’avance sur l’époque où elles existent, de peur qu’elles ne deviennent obsolètes, et les lois de la Terre ne font pas exception. Bien que les lois de la Terre ou les droits de la nature se soient taillé une niche dans un laps de temps relativement court, diverses juridictions ont rencontré de nombreux problèmes pour les mettre en œuvre correctement - ce qui à son tour mérite une refonte.








En mettant en lumière l’expérience indienne de relecture des droits de la nature dans la loi, l’article tente d’explorer les obstacles qui existent dans sa reconnaissance et sa mise en œuvre, et vise à tracer une nouvelle voie par laquelle les pratiques et coutumes communautaires, mieux reconnues et protégées par la loi, peut contribuer à favoriser cette nouvelle ligne jurisprudentielle.
Mr Manjeri Subin SUNDER RAJ, UN Harmony with Nature, India, http://www.lien-organisme.com






From Earth Jurisprudence to the Whole Legal System : Social Ecology and the Relational Approach to Law REMOTE ORAL PRESENTATION

This presentation is based on the question : What does Earth Jurisprudence mean our legal systems as a whole ? Earth Jurisprudence and Rights of Nature are vitally important, but primarily relate to relationships between humans and the rest of Nature. Yet we cannot transform only the part of a system, and nor can we address any ecological problems without addressing the social systems causing these problems. By combining Earth Jurisprudence with other ideas in a holistic paradigm, such as Jennifer Nedelsky’s relational approach to law or Capra and Luisi’s Systems View’ or Murray Bookchin’s social ecology, we can develop ideas about transforming our legal systems in their entirety. This presentation will look at developing a core conception of how we understand humans and how we understand law which expands from Earth Jurisprudence to the entirety of our socio-ecological relationships.
Mr Alex MAY, United Kingdom, www.interconnectedlaw.com ; https://interconnectedlaw.com/geneva2021



La lutte contre les crimes environnementaux en droit international : réalité ou fiction ? REMOTE ORAL PRESENTATION

Face au réchauffement climatique et à la multiplication des catastrophes naturelles, les défenseurs du climat n’hésitent pas à pointer du doigts la responsabilité des États ainsi que des entreprises transnationales dont le comportement relatif aux activités industrielles et économiques, est jugé inadéquat avec l’obligation internationale de protéger l’environnement, certains faits sont même qualifiés de crime contre l’environnement engageant en ce sens la responsabilité pénale des auteurs présumés de ces crimes.

Si la notion de responsabilité pénale en matière environnementale semble lourde pour certains, il est néanmoins important d’accepter qu’elle soit la pierre d’assise d’un droit de l’environnement fort et efficace.

En l’absence d’un droit international contraignant et face au refus de certains, d’intégrer la notion de responsabilité pénale pour crime environnementaux dans le cadre de la règlementation internationale, toutes les tentatives en la matière en dehors d’un cadre juridique contraignant, n’auront aucun effet sur la réduction des crimes environnementaux. Pire encore, le fait d’inciter sur les normes ISO malgré leurs grande importance et impact, risque de détrôner le rôle du droit international et le remplacer par des normes moindres en matière de protection de l’environnement. Donc, les normes ISO ainsi que le concept de la responsabilité sociétale des entreprises, doivent être des supports aux droit international et non pas des règles qui se substituent à ce dernier.
Mr Ibrahim BESSAT and Aziza HAMDI, Association pour la protection de la dignité humaine-APDH, France


OSI DRONE CONNEXION REMOTE ORAL PRESENTATION

Support mobile au service de projets environnementaux.














Mise au point de drones durables et de protocoles adaptés aux contraintes terrain et aux besoins des projet de recherche.
Mr Stephane RODE, ONG Objectif Sciences International - OSI DRONE CONNEXION, France, www.osi-ngo.org















Univers ORAL PRESENTATION

Nous allons parler dans cette conférence des différentes méthodes de détection d’exoplanètes dont particulièrement la photométrie que nous avons apprise à maitriser lors du séjour OSI Star Finder.









Nous avons également vu rapidement les termes techniques d’astrophotographie, les différents instruments et les types d’objets photographiables dans le ciel.
Mr Mickaêl FRANDON, Maël TORRE-GLASSON, and Tristan VALENTINO, NGO Objectif Sciences International (OSI), France, https://www.osi-univers.org/















Indicateurs de sécurité alimentaire dans la recherche deltaïque et côtière : une étude de portée POSTER PRESENTATION

Deltaic and coastal regions are often strategically important both from local and regional perspectives. While deltas are known to be bread baskets of the world, delta inhabitants often face the risk of food and nutritional insecurity. These risks are highly exacerbated by the impacts of climate and environmental change. While numerous regional studies examined the prevalence and the determinants of food security in specific delta and coastal regions, there is still lack of a systematic analysis on the most widely used by scientist food security indicators. In order to fill this gap, a systematic review was carried out using Covidence, a Cochrane adopted systematic review processing software. Papers included in the review were selected from the SCOPUS, Thomson Reuters Web of Science, Science Direct, ProQuest and Google Scholar databases. Both scientific papers and grey literature (e.g. reports by international organizations) were considered. The results were analyzed by food security components (access, availability, quality and strategy) and by world regions. Suggestions for further food security, nutrition and health research as well as policy-related implication are also discussed.
Mrs Sylvia SZABO, Indrajit Pal, Seree Park and Ms. Thilini Navaratne, Dongguk University, Department of Social Welfare Counselling, College of Future Convergence, South Korea, and Department of Development and Sustainability, Asian Institute of Technology, Thailand, Republic of Korea, www.dongguk.edu


Absents cette année

Restaurer les relations entre les hommes et la Terre : environnement, politique et gouvernance ORAL PRESENTATION - ABSENT

La régénération politique, économique, sociale et culturelle est une condition essentielle à la régénération des milieux naturels et bâtis. La récupération de la Terre et la récupération de l’humanité sont des aspects complémentaires et doivent être traitées simultanément, dans l’espace et dans le temps, pour leur soutien mutuel.

















Les problèmes environnementaux doivent être définis à travers une approche intégrée et écosystémique : la restauration de la nature ne peut être réalisée sans la restauration humaine. De nouveaux espaces de participation et de discussion éclairés devraient être ouverts dans les niches d’apprentissage socioculturel, à la fois dans le milieu universitaire et dans la société en général. S’attaquer aux contextes politique, économique et culturel sera un facteur clé pour libérer davantage l’impact potentiel de ces efforts.
Mr André Francisco PILON, University of São Paulo / International Academy of Science, Brazil, https://www5.usp.br/english/institutional/












Réflexion et Mise en Œuvre dans un Monde Bouleversé : Gouvernance, Peuple et l’ Environnement ORAL PRESENTATION - ABSENT

L’asymétrie du pouvoir politique et économique entre les gens ordinaires et les entreprises a conduit à des dévastations naturelles, une perte de biodiversité, des logements précaires, un manque d’assainissement, des épidémies mortelles, des niveaux élevés de criminalité et de violence, avec de graves impacts environnementaux, politiques, économiques et sociaux. Changer les paradigmes du développement, de la croissance, du pouvoir, de la richesse, du travail et de la liberté ancrés dans les institutions politiques, technologiques, économiques et éducatives ; nécessite le développement des capacités institutionnelles, la neutralité judiciaire, la transparence informationnelle, les espaces sociaux pour l’engagement civique et la participation politique éclairée, y compris les unités de conservation, les médias, les chefs religieux, les défenseurs, les experts, les décideurs, les militants, les dirigeants politiques, les organisations, les groupes et communautés. La récupération de la Terre et des personnes (régénération) doit être traitée simultanément, dans l’espace et dans le temps ; puisqu’ils dépendent les uns des autres : les problèmes et les contextes dans lesquels ils surviennent doivent être réinterprétés et restructurés à travers le prisme de l’écosystème, modifiant ainsi les moyens de les résoudre. Une civilisation écologique se soucie des milieux naturels et bâtis, du patrimoine culturel, des liens collectifs, de l’éducation, de la santé, de l’éthique, de l’esthétique, de l’équité et de la justice. De nouvelles niches d’apprentissage socioculturel pourraient générer une prise de conscience, une interprétation et une compréhension au-delà des stéréotypes établis, d’un point de vue thématique (« quoi »), épistémique (« comment ») et stratégique (politiques). En considérant ce moment comme une opportunité pour une grande réinitialisation et la mise en œuvre d’infrastructures et de changements systémiques attendus depuis longtemps dans des domaines tels que l’inclusion, la durabilité et l’innovation, une approche écosystémique théorique et pratique est proposée pour déclencher les événements, faire face aux conséquences et contribuer au changement (sorties potentielles).

En ce sens, le plaidoyer, la communication, les politiques publiques, les programmes de recherche et d’enseignement,
1) définir les problèmes au cœur du « pot bouillant », au lieu de les réduire aux bulles de la surface (problèmes fragmentés, formats académiques réduits, politiques segmentées, effets) ;
2) considérer, en tant que donateurs et bénéficiaires, toutes les dimensions du monde (intime, interactive, sociale et biophysique), en évaluant leurs déficits et leurs atouts, alors qu’ils se combinent pour susciter les événements et s’organiser pour changer ;
3) promouvoir la singularité de (identité, caractéristiques propres) et la réciprocité (soutien mutuel) entre toutes les dimensions, en vue de leur complémentarité et de leur équilibre dynamique ;
4) préparer la transition vers un modèle écosystèmique de culture, pour la cohérence, l’efficacité et l’endurance.
Mr André Francisco PILON, University of São Paulo / International Academy of Science, Brazil, http://www5.usp.br/english/?lang=en








Facteurs affectant le commerce mondial des pêches et de l’aquaculture : une analyse de régression par panel mondial ORAL PRESENTATION - ABSENT

Fish and seafood are one of the most internationally traded cultured and wild food commodities (Tveterås et al., 2012), and their production has grown rapidly in the last decades, with the bulk coming from aquaculture (FAO, 2018). The contribution of fishery activities to national economies is multifaceted. Aside from supplying food and contributing to the gross domestic product (GDP), the fishery sector also provides livelihoods for local fishers and processors. It is also a source of hard currency and boosts government revenues through fisheries agreements and taxes (FAO, 2014). The growing aquaculture activities provided the means to increase overall fish production to feed the world’s population, enhanced employment opportunities in the food sector, absorbed fishers displaced from capture fishing, augmented regional economic growth ; and provided a means to improve foreign exchange through international trade (Subasinghe et al., 2009 ; OECD, 2010).

In 2014, global export of fish, crustaceans, and molluscs reached a historical peak in value of US$146 billion (FAO, 2016). Developing countries export 56 per cent of all fish and fish products, while developed countries and transition economies account for 44 per cent (FAO, 2016a). UNCTAD (2016) projects that developing countries will dominate fish export by 2035 (UNCTAD, 2016). Global fish supply per capita reached a record high of 20 kg in 2014 (FAO, 2016), meeting the global demand driven by rising income and urbanization. This contribution is expected to continue to grow through enhanced productivity and modernization, expansion and intensification, and increasing economic and geographic access and availability to nutritious farmed aquatic products.

While almost all the Sustainable Development Goals (SDG) and many associated targets are relevant to aquaculture development, aquaculture’s role in the SDG achievements has not yet been clearly identified or communicated, resulting in relatively weak inclusion in sustainability dialogues. It is therefore imperative to identify potential socioeconomic factors in promoting business ideas behind aquaculture systems without compromising the environment even as this sector increases its contribution to food security and socioeconomic welfare. Addressing the demand of farmed fish and other aquatic-based products means utilizing more land to expand the operations. This needs an analysis on the potential impact in the environment and the contribution to the total volume and value of production, import, and export of these products. If aquaculture technology being utilized does not bring alarming effects to the environment and balances the global trading ecosystem while alleviating the economic status of the local farmers and processors, then the ultimate goal for sustainable development will be achieved.

Given this background, the present study aims to identify the effects of the socioeconomic factors on aquaculture and fishery production and trade globally at the country level. The annual data were collected from FAO (2021a, 2021b), FAOSTAT (2021) and World Bank (2021a, 2021b) for the decade from 2010 to 2019 for 217 countries. The outcome variables include the volume and value of production, import, and export of farmed aquatic organisms, aquatic-based products, and fishery commodities. The independent socioeconomic variables include the GDP, GDP per capita, ratio of working age population to nonworking population, and percentage of graduates from tertiary education in allied field related to fisheries and aquaculture. In addition, the total coastline and aquatic land use are included as covariates. The study will also determine the land use relevant to fisheries activities and aquaculture operations at national, regional, and global level.The panel regression method was employed to estimate the effects of the socioeconomic variables.

Preliminary results suggest that the total volume and value of production, including the import and export of farmed aquatic organisms and aquatic-based products are significantly associated with the total land use relevant to the fisheries and aquaculture operations. This also shows that the trading of fishery and aquaculture products has a notable effect on the GDP and GDP per capita in some nations, thus alleviating the socioeconomic status of local fishers and processors. The study concludes with several policy and programmatic recommendations at national and regional levels.

References :

FAO. (2016). The State of World Fisheries and Aquaculture 2016 (SOFIA) : Contributing to food security and nutrition for all. FAO. https://www.fao.org/documents/card/en/c/2c8bcf47-2214-4aeb-95b0-62ddef8a982a/

FAO. (2018). The State of World Fisheries and Aquaculture 2018 : Meeting the sustainable development goals. FAO. http://www.fao.org/documents/card/en/c/I9540EN/

FAO (2021a). Fisheries & Aquaculture—Fishery Statistical Collections—Global Aquaculture Production. (n.d.). Retrieved October 15, 2021, from https://www.fao.org/fishery/statistics/global-aquaculture-production/en ;

FAO (2021b). Fisheries & Aquaculture—Fishery Statistical Collections—Global Fish Trade and Processed Products Statistics. (n.d.). Retrieved October 15, 2021, from https://www.fao.org/fishery/statistics/global-commodities-production/en

FAOSTAT. (2021). Retrieved October 15, 2021, from https://www.fao.org/faostat/en/#data/RL

Food and Agriculture Organization of the United Nations. (2014). The state of the world fisheries and aquaculture 2014 : Opportunities and challenges. Food and Agriculture Organization of the United Nations.

OECD. (2010). Globalisation in Fisheries and Aquaculture : Opportunities and Challenges. Globalisation in Fisheries and Aquaculture : Opportunities and Challenges, 1–157. https://doi.org/10.1787/9789264074927-en

Subasinghe, R., Soto, D., & Jia, J. (2009). Global aquaculture and its role in sustainable development. Reviews in Aquaculture, 1(1), 2–9. https://doi.org/10.1111/j.1753-5131.2008.01002.x

Tveterås, S., Asche, F., Bellemare, M. F., Smith, M. D., Guttormsen, A. G., Lem, A., Lien, K., & Vannuccini, S. (2012). Fish Is Food—The FAO’s Fish Price Index. PLOS ONE, 7(5), e36731. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0036731

United Nations Conference on Trade and Development. (2016). Trade in sustainable fisheries and aquaculture. In United Nations Conference on Trade and Development, Trade and Environment Review 2016 (pp. 21–62). UN. https://doi.org/10.18356/6a19440a-en

World Bank (2021). Education Statistics—All Indicators | DataBank. (2021). Retrieved October 15, 2021, fromhttps://databank.worldbank.org/source/education-statistics-%5E-all-indicators/Type/TABLE/preview/on#

World Bank (2021b). World Development Indicators | DataBank. (2021). Retrieved October 15, 2021, from https://databank.worldbank.org/source/world-development-indicators?savedlg=1&l=en
M Jaynos CORTES, Asian Institute of Technology, Thailand, http://www.ait.ac.th


« Enjeux de la gestion de la terre et Développement Durable en Afrique ». ORAL PRESENTATION - ABSENT

<docNNNN|left> La gestion durable de la terre ou la gouvernance foncière, maîtrisée de façon équilibrée favorise dans certaines conditions le développement durable. Le foncier, à travers son caractère social et ses retombées économiques et écologiques, influence sans nul doute le processus de développement économique et de développement durable. Pourtant actuellement, c’est tout le contraire qui se passe en Afrique où le droit foncier est le lieu d’expression d’un pluralisme juridique ayant des impacts incontestables sur le développement du continent. La pluralité des règles régissant le foncier se traduit concrètement par la coexistence de règles de nature et d’objectifs différents. Celles-ci sont, d’une une part les règles de gestion coutumière de la terre et des ressources naturelles, qui sont séculaires et qui jouissent d’une très grande légitimité auprès des populations rurales. Ces normes continuent, de fait, de régenter le foncier en milieu rural et même parfois en milieu urbain. Elles sont porteuses des spécificités socioculturelles dans lesquels la majeure partie des africains subsahariens se reconnaît. Ces valeurs ainsi légitimées font de la résistance depuis la période coloniale aux règles modernes de gestion du foncier.

D’autre part, officiellement, la vision africaine de la Terre est toute autre. Elle est constituée de lois modernes ou de principes issus principalement du système foncier de la période coloniale. . La loi foncière elle-même n’échappe pas à cette référence à la coutume. Bien au contraire, la matière foncière peut être considérée comme le terrain de prédilection de la coutume. Le foncier Africain a en effet un visage de JANUS se traduisant par la superposition des normes traditionnelles et des normes modernes. Cependant, cette juxtaposition n’est pas automatiquement synonyme de contradictions, mais elle a tendance à affaiblir le foncier en Afrique dans la mesure où elle instaure une très grande insécurité juridique notamment vis-à-vis des populations et des investisseurs étrangers que le pays s’applique pourtant à attirer.et cela même si nous sommes conscients que cette superposition a ses revers.

Vue sur un autre prisme, la superposition et la coexistence de règles modernes et traditionnelles doit être prise comme un facteur contribuant à démontrer la richesse du droit foncier africain. Celui-ci peut être un pilier qui va de l’exploitation accrue des ressources naturelles au développement de l’agriculture à large échelle en passant par les infrastructures devraient entraîner des bouleversements qui, si on n’y prend garde, pourraient affecter de manière significative et positive la qualité de vie de nombreux africains, et entrainer par là une gestion concertée de la terre qui respectent les spécificités socio culturelles africaines. Ceux-ci se traduisent par l’émergence de nouvelles pratiques suis generis qui ne trouvent véritablement leur essence ni dans l’une ni dans l’autre de ces catégories de normes. Cette dialectique se complexifie encore depuis l’apparition, suite à la crise alimentaire et énergétique de 2008, du phénomène d’accaparement des terres et des ressources naturelles par les pays riches mais également par certains pays émergents.

Véritables menaces à la sécurité alimentaire, au droit à l’alimentation et aux ressources naturelles, ces accaparements qu’on doit qualifier d’ailleurs de fonciers, entraînent un bouleversement des normes constituant le régime foncier de même qu’ils impliquent une nouvelle perception de celui-ci. Cette dernière est exclusivement financière. Ainsi, la terre, l’eau et les ressources naturelles qui devraient être inaliénables font désormais l’objet d’enjeux économiques mondiaux.
La marchandisation de la terre marque une nouvelle ère où les enjeux fonciers sont perçus sous leur seul angle économique. Ce qui tranche clairement avec les visions foncières qui prédominaient jusque-là, à savoir celle officielle moderne et celle traditionnelle. En effet, dans la vision traditionnelle, la terre n’est pas un « bien » commercialisable. Dans la vision moderne, la terre est certes un bien dans le commerce, mais sa commercialisation n’avait encore pas atteint une très grande échelle comme c’est le cas aujourd’hui. Quelle option l’Afrique, notamment au sud du Sahara fait-elle ? La terre est-elle un bien, une marchandise ? Ou la terre est-elle une ressource communautaire ?

Tiraillée entre passé et modernité quant à la gestion de la terre d’un côté, et de l’autre,entre l’envie d’atteindre l’autosuffisance alimentaire et une prospérité économique, quelle qualité de développement l’Afrique peut-elle espérer atteindre aujourd’hui ? Autrement dit, quel type de foncier pour quel développement ? Les différentes contradictions qui émaillent la gestion opportune du foncier africain e la vision développement qui sous-tend cette gestion sont pertinentes à cet égard.

Mots clés : Régime Foncier ; Droits Foncier ; Développement durable ; Tradition ; Modernité
Mr Jean Paul TAM, Ministère des Domaines, et des Affaires Foncières-Diplomate, Cameroon


PANGOLIN RIGHTS OF SURVIVAL UNDER HUMAN IMPACTS : THREATS AND TRAFFICKING POSTER PRESENTATION - ABSENT

INTRODUCTION :
Pangolin are harmless, easygoing and toothless mammal of Africa and Asia having a body covered with horny scales and a long snout for feeding on ants and termites. Pangolins look like reptiles but they are actually mammals because they are wholly-covered in scales from head to tail.

These Pangolin scales provide protections to the animal when under threat from predators in the wild. As part of their defense tactics Pangolins curls in to a tight ball or cycle like and use the very tick and shape scaled tails to defend themselves when attacked, it does this in self-defense. During this process a pangolin will cover its head with its front legs like Kangaroo, exposing its scales to any potential predator. If touched or grabbed it will roll up completely into a ball as earlier said, while the sharp scales on the tail can be used to lash out.

The name “Pangolin” was coined out of the Malay language word “Pengguling” meaning the one that rolls up, equivalent to peng- agentive prefix + guling roll up or around ; so called from its habit of curling into a ball when threatened. The Malay language is an Austronesian language officially spoken in Indonesia, Brunei, Malaysia and Singapore and unofficially spoken in East Timor and parts of Thailand by approximately population of 300 million people. So the Malay people first called this animal pengguling in their language because of its characteristics of cycling when under attacked and Pangolin was later known with this name across the globe. Pangolins are the ultimate underdog : harmless to humans and friendly to the ecosystem, yet poached and sold by the thousands each year and while its demands are on the increase geometrically each year.

PHYSICAL CHARACTERISTICS OF PANGOLIN :
1. On the average Pangolin Males can grow up to 55 inches long while the Pangolin females can grow up to 50 inches long. Fully grown Pangolin can be Up to 70 pounds.

2. Pangolins have large, curved claws that they use for excavating ant and termite nests, as well as for pulling bark off trees and logs to find their insect prey.

3. Pangolins are solitary and active mostly at night. Most live on the ground, but some, like the black-bellied pangolin, also climb trees.

4. Physically pangolin is marked by large, hardened, overlapping, plate-like scales, which are soft on baby pangolins, but get hardens as they grow older. These Pangolin body armored like scales are made of keratin, the same material from which human being fingernails and tetrapod claws are made, and are structurally and compositionally very different from the scales of reptiles like crocodiles, alligators or dinosaur scales.

TYPES OF PANGOLIN :
Presently eight different species of pangolins are known to man out of which four different species are found in Asia ; these includes the Indian pangolin (Manis crassicaudata), Philippine pangolin (Manis culionensis), Sunda pangolin (Manis javanica) and the Chinese pangolin (Manis pentadactyla). These Asian species are found in China, Indian, Bangladesh, Nepal and some few islands of the Philippines including Palawan and the Culion islands among some other very few countries where it lives in Asia. The Asian pangolins are listed by the International Union for Conservation of Nature’s (IUCN) as critically endangered species.
The other four are the African species and these includes the Black-bellied pangolin (Phataginus tetradactyla), White-bellied pangolin (Phataginus tricuspis), Giant Ground pangolin (Smutsia gigantea) and the Temminck’s Ground pangolin (Smutsia temminckii). The World listed two of the African species as vulnerable while the other two including the White-bellied pangolin (Phataginus tricuspis) and the Giant pangolin (Smutsia gigantea) as Endangered.

SOME BASIC FACTS ABOUT PANGOLIN :
1. Pangolin regulates the termite population which if left unchecked has the potentials of destroying crops and houses.

2. Pangolin helps in the fight against climate change as it restricts termites from destroying and reducing the population of the wild trees which absorbs greater percentage of the Carbon dioxide (CO2) in the air.

3. Pangolins save us millions of Dollars ($) a year in pest destruction because Pangolins play a critical role in their ecosystems. They provide the earth with all-natural pest control and are fantastic tenders of soil, and they do these things simply through their everyday behaviors.

4. Pangolin provides foods to the hunters not poachers.

5. Generally, Pangolins have an extremely important ecological role of regulating insect populations. One single pangolin can consume around 70 million ants and termites per year. If pangolins go extinct, there would be a cascading impact on the environment.

6. Sources of income for governments and private sectors keeping reserves for tourists.
Mr Babagana ABUBAKAR, Kanuri Development Association, Nigeria


Paix, Developpement et Droits de l’Homme POSTER PRESENTATION - ABSENT

<docNNNN|left> Souligner l’importance que revêt le respect des droits fondamentaux dans la construction de la paix, il importe de mettre en évidence le rôle et la fonction des conventions internationales s’appliquant aux droits humains et au développement des organes internationaux chargés de leur application. Le scepticisme manifesté à cet égard par l’opinion publique n’est pas justifié et ne s’explique que par le défaut d’information et aussi par l’indifférence de la presse et des médias lorsqu’il s’agit des institutions internationales et des organisations non gouvernementales se consacrant à leur promotion. Trop souvent on oublie que 67 instruments internationaux et régionaux, conventions générales et spécialisées recouvrent le domaine de la protection des droits humains. Certes tous les États membres des Nations unies n’ont pas ratifié tous ces instruments, mais l’entrecroisement des signatures assure suffisamment le tissu des engagements interétatiques et permet leur mise en œuvre. Pour la première fois, dans l’histoire des sociétés humaines, des juridictions supranationales condamnant des États pour avoir violé les droits fondamentaux des hommes et des femmes, mettent fin à des siècles de toute puissance étatique basée sur les principes de souveraineté et de non ingérence dans les affaires intérieures de l’État. Un deuxième motif de la connaissance difficile ou imparfaite du développement des droits humains dans le respect de la dignité de la personne tient à ce que le droit international public n’est plus le seul domaine des politiques, mais qu’il est, depuis 1948 en particulier, conçu et mis en œuvre par les juristes et les institutions internationales ayant des compétences et pouvoirs, au-delà de ceux des gouvernements et diplomates.

La complexité des mécanismes de protection d’organisation économique du développement, la multiplicité des problèmes d’application font que ce champ conventionnel devient « domaine réservé » des juristes et des économistes internationaux. Il en résulte une compréhension plus difficile par l’opinion et une communication imparfaite car une telle œuvre paraît hermétique et n’intéresse presque pas les médias.
Mrs Nadege Carine TIEKOUE KEUNGNI, Réseau Camerounais des Organisations des Droits de l’Homme, Cameroon


L’impact de la riziculture agro-industrielle : étude de cas sur les défis auxquels sont confrontés les riziculteurs de la Haute Nun Valley Development Authority, Cameroun POSTER PRESENTATION - ABSENT

L’agriculture est considérée comme un secteur potentiel pour relancer l’économie camerounaise et elle a été saluée par le Chef de l’Etat dans son message à la Nation comme une technique cruciale pour la vision économique prévue pour l’année 2035.

Ce projet illustre l’impact de la riziculture agro-industrielle1 au Cameroun. En outre, il illustre les défis auxquels sont confrontés les riziculteurs de la Upper Nun Valley Development Authority (UNVDA).

De plus, la conclusion de cette recherche sera importante pour les investissements directs étrangers dans le secteur rizicole camerounais ainsi que des concepts importants en gestion d’entreprise.
Mr Joseph ZAMBO MOOH, ETS AGRICAM, Cameroon


PROTECTING NATURE BY GIVING IT LEGAL RIGHTS POSTER PRESENTATION - ABSENT

In 2020, during the pandemic and all attention was on Covid, my NGO called Social Gospel Movement embarked on a campaign to draw awareness to acknowledge our dependence on nature and the importance of living in harmony with nature.

At Social Gospel Ministry (SGM), we recognize species and ecosystems not as a resource for human depletion to humans but as allies in our ecosystem
In 2020 February, SGM pushed for the legislation for the Ghanaian Government to enact rights for the river bodies in Ghana, which has been destroyed by operators of illegal mining popularly known as GALEMSEY. These illegal miners use chemicals that are poisonous to water bodies, which serve as drinking water to some local communities. There have been serious implications for these activities.

Subsequently, communities like Amenfi-East, Tarkwa Nsuaem, Prestea Huni-Valley District have established bills of rights that establish the right to local self-government, the right to a healthy environment, the right to clean water, and protection for the local environment. This proves that nature is a property
SGM has been educating the other school of thought who don’t believe the Rights of Nature Approach and over the years and we have been vindicated, as water bodies have been cleared since the termination of illegal mining and water-related diseases like cholera, malaria and its prevalence has been drastically reduced.

At Social Gospel Ministry we pride ourself we this achievement we are ready to educate the world in taking the same course we are on.
Mr Emmanuel NYARKO APPIAH, Social Gospel Ministry, Ukraine


THE RIGHTS OF TREES POSTER PRESENTATION - ABSENT

Timber Rise Foundation (TRF)

As the executive director of timber rise foundation. In February 2021 I was promoting the awareness of the deforestation process which Ghana is facing currently.

A thoroughly filled analysis was done in a community facing deforestation. My team approach with the local government to initiate laws to protect these trees notably among them are Sapele, Mahogany, Wawa…

This behavior has been going on for decades resulting in serious deforestation in these communities (Benso, Amanten, and Esikuma)

In the Benso community, the unregulated cutting down of trees in community has subsequently caused severe flooding, displacing about 3000 inhabitants causing loss of lives, loss of farmlands, and the outbreak of waterborne disease

As the Executive Director of the TRF, I approached the local government to innate laws protecting the right of these Timbers.

After these laws were initiated, my team took it upon itself to a partnership with the national civil authority to educate and inform the locals who involve themselves in these activities.

With a series of education in the communities individual who was involved in these activities have deserted from it. Since then, there has been a significant growing back of the forest.

We at the TRF are proud to have been involved in the afforestation of these communities.

We are prepared to educate NGOs, governments in undertaking this same approach in their countries and communities to save Mother Earth.
Mr Samuel TUNI, Student, Ukraine, https://www.tdmu.edu.ua/en/

Autres présentations potentielles

Mangroves, Charcoal, and Trade : Implications for Achieving the SDGs REMOTE ORAL PRESENTATION

Mangrove forests are among the pristine ecosystems in the tropical region that provide a crucial role either in its local area or in a global context. Among the significantly highlighted functions of the mangrove forest is its role in fighting climate change. Mangroves are the best carbon absorber in the world with a capacity to store up to 10 times more carbon per hectare than forests on land. Mangroves account for approximately 3% of carbon sequestered by the world’s tropical forests, while they occupy less than 1% of the total area of tropical forests. Mangroves are currently being advanced as an essential component of climate change strategies such as REDD+ and Blue Carbon. However, they are under threat nearly everywhere because of human activities. Major threats are activities involving land use change and direct resource harvesting of mangrove forest resources. One of the commonly extracted materials is mangrove wood for fuel (i.e., charcoal). It is less known that charcoal from mangroves has a very high market demand not only locally but also in global markets. Mangrove charcoal is highly preferred as it burns longer, emits less smoke, and has no odor. Historically, mangrove protection and conservation has long been advocated but the problem of degradation and loss remains a persistent problem to date. This study examined the movement of mangrove charcoal in the global markets and investigated the drivers of such livelihood on importing mangrove charcoal.

In Southeast Asia (SEA), charcoal production for export is conspicuous, especially in Indonesia, Myanmar, Malaysia and Thailand, and products are exported to Japan, China, South Korea, Singapore, and some European countries. Some irregular cases were also uncovered such as the cross-border trade between Thailand and Myanmar. Thailand’s case is uniquely different from the other exporting countries as it does not use its own mangroves for charcoal production since the government banned this practice in the 1990’s. Myanmar supplies the semi-processed charcoal and sends it to Thailand for further processing, which is then exported to the major importing countries. This cross-border trade persists as it is illegal to produce charcoal in Myanmar for commercial use. It is estimated that the annual average value of exported mangrove charcoal is USD 10 million though it can give even par when the long-term valuation of the services is estimated.



While mangrove forests are considered as protected areas, lack of enforcement and oversight in several countries in SEA remains a challenge. Moreover, poverty incidences in charcoal producers are the main driver of mangrove dependent livelihoods despite their awareness of consequences. Other pressing issues such as corruption and lack of human capacity also drive mangrove trade despite being illegal in many countries. In Malaysia and Indonesia, charcoal production from mangroves is a recognized industry with a law indicating specific regulated areas for wood harvesting. In securing export permits, businesses have to clearly declare the source and characteristic of the woods used for charcoal export. However, there is no existing export regulation yet that would moderate the quantity of charcoal for export. The major concern over the industry is the risk of losing large areas of mature mangrove forests as mangrove trees take 30 years to reach full maturity ; and harvest for charcoal production can deplete mature mangrove stand at a fast rate.

Exporting mangrove charcoal obviously leads to losses of ecosystem services provided by mangrove forests. Among the major concerns is the collapse of global carbon sink and the accelerated release of GHGs into the atmosphere during the process of charcoal production. In addition, local communities confirmed that they are experiencing localized climate change, reduced marine resources catch and wind impacts from the sea are more intense. Mangrove resources management would contribute to the attainment of SD targets for the environmental and developmental indicators. It is in this regard that more research is required to better account for firewood extraction for charcoal toward informed policy decisions and sustainability related to charcoal industry.
Mrs Arlene GONZALES, Asian Institute of Technology, Thailand, www.ait.ac.th



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